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23 Messages de forum
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29 décembre 2006 14:03, par Michel
Salut Jean-Marc. Bin oui je suis assez content de cette nouvelle. Pour moi tu es, et as toujours été baryton. Tu as des notes aigües, c’est vrai, mais ton timbre de voix est celui d’un baryton. Même si je ne suis pas un pro, pour moi y a pas photo. En tous cas c’est bien d’être allé au bout de ton exploration du "ténorat", au moins tu n’auras pas de regrets.
Donc bienvenue de nouveau chez les barytons et pourquoi pas se faire un récital des 3 barytons à la prochaine rossignolade...
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Bonjour Jean marc, cela fait maintenant un an que je chante...Au début, j’allais jusqu’au mi3, maintenant jusqu’au fa dièse. Mon prof m’a dit que j’étais baryton. Est-ce que vous pourriez me dire s’il vous plaît comment on fait pour pouvoir atteindre des notes beaucoup plus hautes telles que le la4 ou le si 4... ? J’aimerais vraiment atteindre ces notes, mais je n’y arrive pas. Comment faut-il travailler sa voix pour y arriver ? Un baryton doit y arriver non ?
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La4 ou Si4 ??!! Ma parole vous voulez passer du baryton au soprano léger suraigu !! Ce ne serait pas plutôt La3 ou Si3 ??
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Elle pouvait sentir l’humidité glissante s’infiltrer l’intérieur de ses cuisses tremblantes encore et ne pouvait pas se tromper que c’était la sueur. Elle le regarda ... un grand, maigre, croupe video x homme, si semblable à son mari, avec ses larges épaules et de travailler les mains trempées et le cou épais brûlé par le soleil. sntlq23sp
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30 décembre 2006 00:11, par David O, Certainement baryton aussi !
...et tu es revenu "à la maison" !
Bonne route parmis nous, fais-toi et fais- nous plaisir...
PS : tu n’es peut-etre pas assez c.. pour etre ténor ;-)
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30 décembre 2006 10:17, par Dominique
Cher Jean-Marc
Vous ne me connaissez pas, je suis une soprano lyrique amateur de La Réunion fan de votre site et de vos rossignolades, qui attendais avec impatience des nouvelles de votre aventure vocale.
Bravo pour cette décision qui semble vous redonner l’essentiel : le plaisir de chanter dans le confort. Toute cette aventure nous prouve à tous que chaque voix est unique, et que les classifications ont parfois des cadres bien trop rigides pour ce si exceptionnel instrument qu’est la voix !
Je regrette d’être si éloignée géographiquement car j’aurais aimé rencontrer toute votre bande de joyeux rossignols.
Ici, à La Réunion, c’est plus que le calme plat en matière de chant lyrique. Si ça intéresse quelqu’un, je vous en parlerai un jour plus en détail.
En tout cas, meilleurs voeux, merci pour ce site extra et à bientôt !
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Merci pour ces commentaires de tout là bas (pour info j’y ai passé trois ans lorsque j’étais adolescent, j’étais à Saint-Pierre et au Tampon) et heureux d’apprendre qu’il n’y a pas que mes vieux potes qui suivent mon aventure vocale.
Si vous souhaitez nous faire une publication sur votre expérience à un autre bout du monde, ce sera volontier que je mettrai en ligne votre article.
Pour ce qui est de la prochaine rossignolade, il y en aura une rapidement, car il y a maintenant bien trop longtemps que je me retiens de chanter... il faut que ça pête :-)
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Bonne année à tous !
Le monde est vraiment petit, Jean-Marc, car je réside précisément entre Saint-Pierre et le Tampon, région que vous semblez avoir bien connue.
Désolée, mais je viens de comprendre que "J’ai fait trois fois le tour du monde" est un air. Je n’en avais jamais entendu parler. Si jamais quelqu’un veut donner quelques précisions...Merci d’avance, vous contribuerez à mon enrichissement culturel...
A bientôt !
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2 janvier 2007 12:43, par Cololi
C’est très difficile de juger tout celà ... effectivement.
Il y a fort longtemps un certains Ramon Vinay a commencé ténor en chantant Otello, et a fini en Iago ...
Celà dit il y a des moyens de savoir relativement efficacement la catégorie.
Par exemple la note de passage. Si la note de passage est un mi ou fa, c’est très fortement probable que l’on est ténor.
A mon avis tu as besoin d’un prof très compétent, pour apprécier tout çà.
Je rajouterais que si Michel Dens, baryton léger par excellence t’as dit que tu étais ténor ... moi çà me ferais sérieusement réfléchir.
Faut pas oublier que si tu chantes des contre notes ... il y a très très peu de chances que tu soit barytons.
Un baryton qui chante un contre ut c’est très rare ... et vraiment exceptionnel.
Si tu arrives à chanter des contre ré ou plus ... je croit que douter n’est plus permis.
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je rajouterais que pour être à l’aise dans un morceau pour ténor il m’a fallu une bonne dose de patience et de travail ...
Maintenant je ne peux plus retourner en arrière.
Si la voix est mal placé ... (trop engorgé par ex) il est impossible de conclure et de dire ténor ou baryton, donc il faut commencer par être sur que la voix est bien placée. Et pour çà il faut un bon professionnel.
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Bonjour, moi je crois que c’est bien d’avoir pris une decision, si tu dois avoir plus de plaisir et que ta voix ne se fatigue pas, apres tout c’est peut-etre mieux comme cela. Par contre je pense que le fait de faire des contre-notes ne prouve pas que l’on est tenor. il y a des barytons qui font des contre mi, mais en falseto. le timbre a aussi une tres grande importance comme l’a dit Michel.
meilleurs voeux a vous.
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Contre note ... en voix pleine j’entend, pas en falseto.
Des très très grands barytons verdien (niveau international) peuvent certainement monter au contre ut, mais si on monte au delà en voix pleine ... le doute n’est à mon avis plus permis.
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d’accord avec toi maintenant. si Jean-Marc a sa note de passage sur fa et qu’il est capable de chanter un contre ut en pleine voix bien placee (bien resonnante sans effort) c’est qu’il est certainement tenor. Mais il faut reconnaitre que bien chanter n’a jamais ete facile et que les bons chanteurs ou chanteuses ont du travailler beaucoup pour en arriver la, et qu’une annee de recherche a mon avis ne suffit pas pour faire le tour de la question.
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3 janvier 2007 19:09, par Michel de Saintes
Mais, au fait tu n’es peut-etre pas oblige de chanter de l’opera ?
a propos de "j’ai fait trois fois le tour du monde" : lorsque j’etais baryton j’avais beaucoup de mal a le chanter, je suis maintenant tenor ou plutot j’essaye de l’etre depuis 6 ans et cet air reste toujours un casse-tete pour moi. biensur c’est toujours possible de le chanter dans une autre tonalite. Cet air n’est peut-etre tout simplement pas fait pour le tenor ou baryton que je suis !! j’espere avoir ete assez clair.
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Moi l’opéra j’aime bien... l’opérette ou plutôt le genre opéra comique aussi.
J’ai fait trois fois le tour du monde à ce que j’en ai testé l’autre jour, passe maintenant très bien... Je ne sais toujours pas bien si je suis ténor ou baryton, mais sur ce genre d’air là, je pense être en plein dans mon registre.
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ok, j’ai tres envie de venir a la prochaine rossignolade pour t’entendre dans des airs de baryton car moi je te connais seulement comme tenor.
a bientot. en tous cas j’aime cette ambiance de passionnes du chant !!
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Je chante depuis 5 ans et je me demandais si ce que vous disiez était "transposable" aux femmes. Je me suis en effet souvent demandée si j’étais soprane ou mezzo. Dans l’article que vous aviez publié en 2005 je me suis reconnue dans ce que vous disiez à savoir par exemple les aigus faciles certains jours et difficiles d’autres jours. Bien sur, je débute car si je chante en chorale depuis plus de 5 ans, je ne prends des cours particuliers que depuis 1an mais si vous dites que la technique est un peu différente en ténor qu’en baryton l’est elle aussi en mezzo et en soprane ? et peut être que je fais fausse route dans mon travail. Il faut savoir aussi que j’ai 21 ans et que je n’ai pas encore atteind la maturité vocale qui, il me semble est de 24 ans pour les femmes. Cela a-t-il un lien ?
merci.
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Ce n’est pourtant pas un air si difficile. Je le chante bien alors que je suis baryton-basse (bon, c’est tout � fait exceptionnel, mon r�pertoire, c’est plut�t M�phisto, Scarpia, les quatre diables des Contes d’Hofmann et autres joyeux lurons). Bien s�r, je ne fais pas le sol di�se -facultatif-de la fin (le sol me suffit), mais cela reste plus que pr�sentable.
Le grand truc est de savoir g�rer la pression. Je dis bien la pression, pas le souffle. C’est comme un morceau de boudin. Vous n’allez pas avaler votre boudin en continu. Il faut le couper en morceaux pour l’ingurgiter en entier, sinon vous allez vous �trangler. C’est la m�me chose pour un air. Apr�s chaque phrase musicale, pensez non seulement � respirer (et m�me n’y pensez plus, �a vaudra mieux), mais surtout rel�chez la pression, d�tendez-vous. Si vous restez sous tension, vous allez vous serrer le kiki et e moindre mi deviendra un supplice.
Profitez de la moindre pause, du moindre silence. L’orchestre (ou le piano) sont l� pour vous aider. Profitez-en. Pourquoi croyez-vous que Wagner mette tant de longues plages orchestrales dans l’air du Hollandais ou dans les adieux de Wotan ?
L’air des "Cloches" comporte aussi une s�rie de "fa", �prouvants pour un baryton. N’ayez pas peur et surtout ne les sortez pas en force, et ne vous attardez pas dessus, sinon vous �tes bon pour le ballon d’oxyg�ne (et puis ce sera tr�s laid). Pensez aux coureurs du 110 m�tres haies qui doivent �viter de trop "sauter les haies. Il faut chanter l’ensemble de l’air comme une m�lodie, ou, mieux, comme un lied, sans rouler les m�caniques (la musique les roule pour vous, pas la peine d’en rajouter).
Voil�, en esp�rant que cela sera utile � quelqu’un.
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bonjour,
j’adore cette chanson ,mon papa la chanter au théatre de cherbourg ,réplique a l’italienne
ainsi que les cloches de cornevilles ,le vin de marsala ,
ce dernier titre a la fin de sa vie ,il ne pouvait plus la chanter ,il pleurait ,car il est né en 1896 et il a fait la guerre 14/18 ,il aurait 114 ans le 20 de ce mois ,il a méme chanter ,avec mado robin ,et mathé altéry a ces tout debut ,car mado robin était malade ,ce qui fait que mathé altéry , la remplaçée au pied levé
mon papa était barython j’ai une soeur de 90 ans ,moi 62 et la petite derniere 56 ,
et voila une belle famille (papa est décédé en 1974 )il s’appeler CHARLES FOUCHER
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5 juin 2007 11:36, par duchamp
ont ne decide pas d’etre tenor ! vous etes un baryton qui monte c’est tout.. de plus la couleur joue et... votre soutien qui determine la couleue de votre voix...
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14 février 2008 18:46, par hussonnades
Si je n’ai pas raté un épisode je crois comprendre que vous plafonnez au contre ut et avec difficultés.La plupart des ténors grimpent en vocalises jusqu’au mib, voire le fa diése ( TONY PONCET AVEC EN PLUS UN GRAVE MAGNIFIQUE et un accent regrettable de fond de province...enfin...)certains sortaient un ré sur scène tels NICOLAI GEDDA, le postillon de LONGJUMEAU, ou GUSTAVE BOTIAUX DANS LE PAYS DU SOURIRE, etc....
a contrario des basses qui ont chanté a l’opéra atteignaient le contre ut tel LABRIET ,début 20eme, et JULES BASTIN, mort il y a quelques années.
Et le timbre ??? il a aussi son mot à dire.Tout cela est bien compliqué mais prudence encore et toujours...
J’ai connu MICHEL DENS sur scène , une voix qui prenait facilement la couleur du role ,de baryton sombre à ténor.Reconnaissez que dans certains airs d’opérette c’est très tendu et à la limite de la rupture méme si ça sort. Je pense qu’il faut étre raisonnable dans l’aigu, méme si ça sort ce n’est plus du chant.
une belle voix de baryton c’est beau aussi.
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Je ne chante pas mais je m’intéresse suffisamment aux chants lyriques pour donner un avis de pâle amateur. Cet article est amusant et je vous souhaite bonne chance dans votre nouveau projet. Vous verrez (à moins que ce ne soit déjà fait) que vous y trouverez un plaisir plus large étant donné l’étendue de votre voix.
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baryton ..... ténor, d’accord cela existe si l’on veut, dans la mesure où ces classifications servaient et servent toujours dans le chant lyrique et l’Opéra. établit je crois par Berlioz ? car auparavant, il n’y avait que trois pupitres, du temps de Mozart par exemple, les barytons et mezzo sopranes "n’existaient" pas. Ténor ou Basse et c’est tout. Mais pourquoi ? tout simplement parce que avec le travail et l’apprentissage de la voix de tête, une mezzo et un baryton peuvent avec les années être confondus avec un ténor et une soprane.
Selon moi, les registres vocaux doivent être travaillés dans leur ensemble et pas seulement pour un pupitre. Chanter veut avant tout dire ne pas avoir peur de sa voix, peu importe qu’elle soit belle ou pas, lorsque le parcours de chanteur ne permet pas encore d’unifier totalement toute la tessiture il ne faut pas tellement se soucier de la "beauté" du son qui reste très appréciable selon les subjectivités et se concentrer sur l’unification de la tessiture et le travail des registres aigus medium et graves.
Beaucoup de Barytons classifiés ainsi en raison de leur timbre "voilé" dans les aigus, bien qu’ils puissent faire varier leur voix dans les aigus, sont découragés car ils ne trouvent pas leur satisfaction vocale. qu’à cela ne tienne, travaillez la voix de tête régulièrement, puis la voix mixte, apprenez à ralentir vos cordes vocales fines et alléger vos cordes lourdes, et vous ressemblerez comme deux gouttes d’eau à un ténor, pour la simple et bonne raison que vous en êtes un déjà, selon toute probabilité.
Le problème c’est qu’obtenir un son puissant dans les aigus pour un homme habitué au baryton n’est pas une tâche facile, car il faut apprendre à amplifier un mécanisme qu’il n’utilise pas d’habitude en mélangeant à son mécanisme lourd à un registre léger.
Mais c’est aussi ce mélange qui fait le charme de la voix de Ténor. Cela demande donc au minimum DIX années de travail régulier.
tapez Bel canto pavarotti sur youtube, il explique le temps que lui a demandé sa voix avant d’obtenir un son capable de couvrir un orchestre. Mais tout le monde ne cherche pas forcément à couvrir un orchestre, et les mlcros existent aujourd’hui. alors pas besoin de "s’exploser" la voix pour être entendu, compris ? sinon vous risquez de vous blesser.
Pour finir, votre professeur ne doit pas être vraiment très compétent, comme beaucoup de professeurs de conservatoires qui cherchent à adapter la voix au lieu d’adapter le répertoire. Vous dire que vous êtes un Ténor fainéant n’est que le signe de sa propre incompétence à vous aider à résoudre votre problème. Si vous êtes Ténor en vérité, et que vous chantez toujours baryton vous aller fausser votre voix, et finir par vous faire mal. Les Barytons sont normalement des basses à l’aise dans le haut de la tessiture. Vous seriez plutôt un Ténor à l’aise dans le registre grave de sa tessiture. Si vous sentez un "grésillement" de votre voix quand vous cherchez les notes les plus graves du baryton, ou simplement un échauffement, c’est le signe que vous êtes ténor.
sachez d’après mon expérience que même la voix parlée en 5 ans peut prendre deux demi-tons vers le haut pour les faux barytons dans votre cas.
Ne perdez pas confiance, continuez à travailler et cherchez à vous renseigner un peu mieux sur les mécanismes de la voix. bien à vous, un lecteur assidu.
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J’ai fait trois fois le tour du monde
Adjugé baryton
Le 28 décembre 2006
Comme vous avez pu le constater, mon activité lyrique était quelque peu en veilleuse depuis quelques mois. Mon nouveau joujou m’occupe certes pas mal, mais il n’y a pas que ça...
- Michel Dens - Baryton
Depuis que j’ai décidé de devenir ténor, il y a bientôt un an et demi, je n’ai pas eu trop de difficulté à chanter tout ce qui est écrit pour les voix hautes, du moins tant que l’on reste dans la mélodie, la chanson napolitaine ou l’opérette. Cependant je n’arrive toujours pas à chanter un vrai air d’opéra convenablement et ça a fini par me désespérer quelque peu.
On me dit que j’ai les notes du ténor, et donc que je dois l’être. Chanter ce répertoire ne me fatigue pas, mais je suis devenu trouillard quand je chante et j’ai le sentiment de toujours être sur le fil du rasoir prêt à me casser la gueule (c’est con les ténors).
Si jusqu’au La ça va bien, à partir du Si bémol ça devient délicat et ma prestation vocale est souvent liée à divers facteurs qui pourraient être la température de l’air , le degré d’hygrométrie ou la qualité de mon sommeil et je ne suis pas sûr que cela soit toujours très beau en tous cas mon chant n’arrive pas à être libre car il y a toujours l’appréhension de l’obstacle qui arrive… et ce coup ci vais-je y arriver ?
L’autre jour, je me suis mis à douter (Je sais ça a été long ;-)) et j’ai eu envie d’essayer de re-chanter les airs de baryton que je connaissais. L’auditoire familial présent a tout de suite adhéré et j’ai retrouvé des sensations et le pétillement dans les yeux de l’assistance : le plaisir du chant (même pas peur des aiguës).
Mon fils à des années lumière de mes préoccupation lyriques m’a même dit que j’avais fait de superbes progrès et que le "non piu andrai" que je venais d’interpréter était le meilleur qu’il avait jamais entendu (par son père) … la vérité sort de la bouche des enfants … dit- on ! (Il a 19 ans, mais on est toujours l’enfant de quelqu’un)
Prêt à faire marche arrière (Il est pas fier le gars Jean-Marc) et en accord avec mon prof de chant, Christian LARA que je salue ici, nous avons décidé de faire une pause dans le répertoire ténor et de me remettre au répertoire baryton.
Pour un baryton, j’ai maintenant des aigus hyper faciles, les graves de basse sont plus durs à aller chercher (ça me titille même un peu la gorge) la voix a du se déplacer, je vais donc commencer à chanter des trucs que je trouvais durs avant comme, jardin de l’alcazar ou l’air de Figaro dans le Barbier de Séville et je tenterai de faire trois fois le tour de monde.
Me revoilà donc baryton … Ya que les imbéciles qui ne changent pas d’avis … je sais ça fait plusieurs fois, je dois être particulièrement pas con !
Ce que j’ai appris durant ces 18 mois qui viennent de s’écouler, c’est que la frontière dans les catégories de voix n’est pas si tranchée, qu’il ne faut pas se cantonner à une tessiture, il faut avant tout prendre du plaisir en chantant et surtout en donner aux autres. A l’avenir je ne m’interdirai pas des morceaux de ténors ou de basse s’ils me plaisent (je me suis bien aimé dans les deux airs de tracolin du toréador d’Adolphe Adam) et si je me sens capable de les chanter. J’ai aussi appris à alléger ma voix que je grossissais trop auparavant.
Ma voix assez large semble t il me permet de m’amuser certainement plus que d’autres : c’est une chance.
Je dois être même si on m’a dit que ça n’existait pas, un vrai baryton Martin (ou comme dit Christian un ténor fainéant).
PS : J’en connais deux qui vont être contents (les deux Michel), on va maintenant pouvoir produire les "Trois Barytons" . Maintenant que j’ai à nouveau du répertoire qui tient la route, il va falloir envisager une Rossignolade.
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www.vocalises.net ©2009 - par Jean-Marc CHOISY
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