Pour faire suite aux recherches que je suis en train de faire pour voir ce que l?on pourrait monter comme oeuvre l?année prochaine à l?Opéra de Barie, je vous livre ici un article historique, puisqu?il date de 1862 en préface d?une vieille "Servante maîtresse" ...
La révolution musicale dont la Servante Mailresse fut à la fois la cause et le signal, en fait à jamais une ?uvre de haute importance ; et la date de sa première représentation sera toujours un point unique dans l?histoire de l?art.
L?aimable chef-d?oeuvre de Pergolèse est, en effet, le premier type d?opéra-comique introduit en France par les Italiens ; or on va voir comment nous avons profité de cette leçon de gaieté.
Pour apprécier à sa juste valeur l?influence qu?a exercée sur notre génie musical l?exhibition de la Serva Padrona, il faut, avant tout, se faire une idée de l?état dans lequel se trouvait l?art vers le milieu du dix-huitième siècle. Le croirait-on ? à une époque si affolée de toutes les sensualités et où le plaisir tenait une place très-large dans la vie sociale, l?opéra bouffon était encore inconnu à Paris. Il existait bien aux foires Saint-Laurent et Saint-Germain plusieurs théâtres où se donnaient à profusion, et sous la rubrique d?opéras-comiques, de petites pièces grivoises entremêlées de couplets. Mais il ne faut pas s?y tromper, ces pasquinades plus ou moins échevelées usurpaient par avance un titre que ne pouvaient certes leur valoir les refrains populaires dont on les assaisonnait ; à peine pourrait-on comparer d?aussi grossières élucubrations à nos vaudevilles les plus élémentaires.
D?un autre côté, on ne chantait guère à l?Opéra que sur le ton du lutrin. Hameau, qui passait alors pour avoir porté le dernier coup à la psalmodie de Lulli, procédait encore très-visiblement du vieux maitre quoiqu?il se soit montré plus indépendant et que ses travaux théoriques aient fait faire un grand pas à la science musicale.
En tous cas il y avait un abîme entre l?auteur de Zoroastre et les maîtres italiens qui déjà savaient donner la tournure de leurs chants tant de vivacité, de grâce et d?esprit.
Les choses en étaient là, quand une troupe de bouffons dirigée par le signor Bambini s?en vint jeter le trouble dans le paisible empire des sons. Ces chanteurs ambulants (si médiocres qu?ils étaient) avaient obtenu de donner à l?Opéra plusieurs représentations des intermèdes de Pergolèse. Ils débutèrent le 2 août 1752 par la Serva Padrona, que l?Italie applaudissait déjà depuis une vingtaine d?années.
Ce fut comme un coup de foudre ;_et Laharpe le dit très-bien Il fallait une nouvelle musique pour qu?on en vint à examiner celle qu?on avait ou ce qu?on croyait avoir, et pour se demander enfin quelle était la raison de cet ennui qui régnait de plus en plus à l?Opéra, surtout pour ceux qui avaient passé l?âge d?y aller chercher autre chose qu?un spectacle.
La musique des bouffons fit connaitre l?oreille un plaisir tout nouveau ; cette richesse, cette variété d?expression étaient bien le contraste des effets ordinaires de l?Opéra.
Deux partis se formèrent aussitôt ; l?un qui tenait pour la musique italienne, l?autre qui avait entrepris de défendre la vieille psalmodie française.
Jean-Jacques Rousseau, Grimm, tous les beaux esprits du temps, entrèrent dans la mêlée et les grands coups qu?ils frappèrent, l?un avec sa Lettre sur la musique française, l?autre avec son Petit prophète de boemichbroda ne firent qu?envenimer l?animosité des deux factions.
Paris était dans un grand émoi, la lièvre de la discussion faisait tourner toutes les têtes. Les affaires de la politique même ne passionnaient plus personne, tant on dépensait d?ardeur dans cette bataille qu?on se livrait tous les matins à coups de brochures et tous les soirs- à coups d?épée sous les réverbères de la rue Saint-Honoré. (Le lecteur n?ignore pas en effet, que l?Opéra était alors attenant aux bâtiments du Palais-Royal et s?élevait sur ce qui fait aujourd?hui la partie méridionale de la rue de Valois).
Le roi Louis XV, qui était du parti de la musique française, finit par beaucoup s?émouvoir de toute cette échauffourée. Il chercha longtemps un prétexte pour renvoyer les bouffons ; or comme il n?en trouva point, il leur ordonna purement et simplement de cesser leurs exercices.
Voilà donc les italiens partis. Mais ils laissaient derrière eux comme une trace lumineuse que rien ne pouvait effacer. Nous leur devions la révélation de l?opéra-bouffe ; c?est-à-dire tout un art nouveau dont les beautés avaient pris pour la foule un relief singulier dans la dispute même dont elles avaient été l?objet. En effet, l?impression que produisirent la Serva Padrona, il Maestro di musica, la Finta cameriera et les sept ou huit opérettes qui composaient le répertoire du signor Bambini, cette impression, dis-je, ne fut pas seulement vive, elle fut durable.
Les défenseurs du système français eurent beau crier et se démener, ils ne réussirent pas à résister au courant des idées nouvelles. Tous les jours ils perdaient du terrain, non pas de par les raisons articulées dans les écrits de leurs adversaires, mais bien en vertu de l?excellence même de la musique italienne.
La Guerre des Bouffons ne fut donc pas une joute d?ergoteurs armés d?épigrammes plus ou moins aiguisées ; elle eut toute l?importance d?une véritable révolution, car elle fut la crise féconde dois sortit un progrès en dépit d?une routine.
Ici intervient dans le drame un nouveau personnage dont on va bientôt juger l?importance. Il s?appelait Monet, et avait obtenu du roi le privilège des théâtres de la foire Saint-Laurent et de la foire Saint-Germain.
Monet a laissé des mémoires ; et nous n?avons, ce nous semble, rien de mieux à faire que d?en détacher la curieuse page qu?on va lire et où se trouve tout au long le véritable acte de naissance de l?opéra-comique.
« Après le départ des bouffons, sur ]e jugement impartial que des gens de goût avaient porté de leurs pièces, je conçus le projet d?en faire faire d?après le même patron par un musicien de notre nation. M. Dauvergne me parut le musicien le plus capable d?ouvrir avec succès cette carrière. Je lui en fis faire la proposition et il l?accepta. Je l?associai à M. Vadé et je leur indiquai simplement un sujet de La Fontaine. Le plan et la pièce des Troqueurs furent faits dans l?espace de quinze jours.
Il fallait prévenir la cabale des bouffons. Les fanatiques de la musique italienne, toujours persuadés que les Français n?avaient pas de musique, n?auraient pas manqué de faire échouer mon projet. Donc de concert avec les deux auteurs, nous gardâmes le plus profond secret. Ensuite pour donner le change aux ennemis que je me préparais, je répandis et fis répandre que j?avais envoyé une pièce à Vienne, à un musicien italien qui savait le français et qui avait la plus grande envie d?essayer ses talents sur cette langue.
Cette fausse nouvelle s?accrédita parmi les bouffonistes qui vinrent me complimenter sur l?acquisition que j?avais faite de ce bon auteur et me confirmèrent encore la grande supériorité de la musique italienne sur la nôtre. Aussi charmé de leur bonne foi que de l?heureuse tromperie que je venais de leur faire, je leur présentai M. Dauvergne comme le véritable Orphée de Vienne. »
Les Troqueurs, de Vadé et de Dauvergne (premier opéra-comique français digne de ce nom), furent donnés à la foire Saint-Laurent, le 30 juillet 1753. En ce temps-là, vivait à Paris, pauvre et ignoré, un répétiteur du collège Louis-le-Grand, qui avait nom Pierre Baurans. Ce n?est pas que Baurans eût précisément abandonné sa place de substitut, au parlement de Toulouse pour venir dans la capitale enseigner le grec et le latin, mais la misère l?avait réduit à cette extrémité, et il patientait dans l?exercice de sa modeste profession, en attendant qu?il pût montrer ses talents de poète et de musicien.
L?occasion tant cherchée était difficile à saisir ; pourtant Baurans s?était lié d?amitié avec Laruette et Mme Favart, alors toute-puissante à la Comédie-Italienne de la rue Mauconseil. D?autre part, il fréquentait Rousseau et les principaux chefs du parti bée foniste dont le rendez-vous ordinaire était au ce Procope. Ces circonstances réunies firent bientôt naître dans son esprit une idée alors si neuve qu?elle était tout à fait téméraire ; il imagina d?accommoder la Serva padrona à la scène française.
Après deux mois d?un travail opiniâtre, la traduction du chef-d?oeuvre de Pergolèse se trouva prête à être représentée. Mais le pauvre poète était si timide, oi plutôt si modeste, que sans Mme Favart, qui lui força la main, il ne se serait peut-être jamais décidé à produire ses rimes devant le public.
La Serva padrona, devenue la Servante maîtresse,fut donnée avec le plus grand succès, à la Comédie-Italienne, le 14 août 1754. Voici l?éloge qu?en firent Diderot et Grimm dans leur correspondance littéraire : Un nommé M. Baurans, ? disent-ils, vient d?exécuter un projet dont le succès n?a pas été et ne peut être contesté ; il a entrepris une traduction presque littérale de la Serva padrona, en conservant la musique du sublime Pergolèse. On peut sentir l?extrême difficulté d?une pareille entreprise. Cet intermède est joué à la Comédie-Italienne, et tout Paris y court avec une espèce d?enthousiasme. Il est précédé d?un prologue en forme de pièce, de l?illustre M. de Chevrier. Celui-ci est intitulé la Campagne, et fourmille d?épigrammes à la façon légère et agréable de cet auteur. »
Encouragé par la vogue qui s?attacha à la Servante maîtresse, Baurans traduisit et fit jouer quelque temps après : il Maestro di musica, du même maître. Mais bientôt il fut atteint de paralysie, et s?en alla mourir à Toulouse où il était né.
? Le 12 août 1862, sous la direction de M. Perrin, la Servante maîtresse a été représentée et bien accueillie au théâtre de l?Opéra-Comique. Gourdin, Berthe-lier et Mme Galli-Marié, ont concouru au succès de cette curieuse exhibition en montrant, chacun dans son genre, un talent renforcé par beaucoup de zèle.
La partition a été revue par M. Gevaert, qui a cru devoir y ajouter, en guise d?ouverture, un fragment de sonate de Scarlatti. M Gevaert a aussi, d?une main discrète autant que sûre, transporté au quatuor les accompagnements de clavecin destinés à soutenir le récitatif.
? En résumé, on voit que c?est la Serva padrona qui a engendré les Troqueurs, ou, autrement que l?opéra-comique, ? par la voie du pastiche, ? est né chez nous de l?opéra-bouffe italien. De là l?intérêt qui s?attache à la reprise de la Servante maîtresse, cette aïeule vénérée de toute une lignée de chefs-d?oeuvre dont le dernier venu a si glorieusement nom Lalla-Rouck.
ALBERT DE LASALLE.
16 août 1862.
{Consulter} l'article avec son forum.
Pomme d?Api par l?Opéra de Barie, 15, 16 et 17 Août 2008.
Préambule
Il faut bien le dire : Nous avons eu beaucoup de chance !
La plupart des observateurs, qui pour la plupart n?osent rien mais commentent toujours, n?y croyaient pas et attendaient tranquillement de voir l?entreprise aller dans le mur...
Comment cela pouvait-il marcher ? un "Opéra de Barie" dans un village de 250 habitants, loin de tout, en plein air, avec des amateurs et des professionnels même pas payés et 200 euros de trésorerie pour monter le spectacle...
Certains membres hâtifs, d?un commun accord avec leur conscience, s?étaient d?ailleurs fait porter indisponibles, indisposés, ou tous simplement occupés quelques jours avant le début de notre aventure, "Titanisés" qu?ils étaient de la peur d?être associés à ce coulage prévisible... mais laissons-là les fâcheux et les comptables et occupons-nous plutôt de ceux qui ont contribué au succès de cette aventure.
La préparation :
J?avais dès les premières répétitions senti que ça allait marcher. J?ai une espèce de sixième sens qui m?indique toujours si tout va rouler ou s?il va y avoir des problèmes. Ma préparation en amont avait été acharnée et laborieuse : courriers, mails, fax, coups de fils... tous mes indicateurs étaient au vert. J?avais de l?énergie à revendre et j?étais prêt à déplacer des montagnes. Le chemin critique du projet était certes escarpé mais il n?y avait rien d?infranchissable et ce lundi matin 11 août 2008, début de l?aventure, j?y croyais et les autres ne pouvaient donc qu?y croire aussi.
La municipalité de Barie et son conseil municipal qu?il faut saluer pour le dévouement dont ils ont fait preuve tout au long de la semaine étaient là pour nous aider à monter la scène. Le ciel finissait de se vider... « Qu?il pleuve, qu?il pleuve, c?est toujours ça de moins qui ne tombera pas vendredi » nous dépêchions-nous de nous convaincre.
David Ortega, l?ami du début de mes années Opéra, était là, aussi très mobilisé et avait à coeur que ça marche pour nous, pas très grand bricoleur certes, mais bon chanteur et plein de générosité. Philippe Souque, notre metteur en scène, mesurait l?étendue de la tâche à accomplir : un décor à installer avec les moyens du bord, un vrai challenge...
Et puis... tout s?est mis à rouler. Les énergies se sont canalisées, les tonneaux du décor sont arrivés, les idées sont venues et comme par enchantement, tout a pris sa place. Sont arrivés ensuite les deux Michel (Hugues et Ballan) : chapeau bas les gars, nous vous devons beaucoup !. Les autres chanteurs ont suivi. Les habitants nous ont beaucoup aidé et s?il ne fallait en citer qu?un, il faudrait citer Monsieur Liarsou qui n?a ni loupé une répétition, ni un seul spectacle.
De nouveaux adhérents se sont manifestés comme notre Monsieur Brun, alias Olivier, qui a contribué lui aussi à rendre l?aventure "improbable", mais tellement sympathique.
Côté intendance, il y avait, bien sûr, Fabienne, ma moité, qui a permis de mettre de l?huile dans les rouage de cette belle mécanique qu? est devenu l?Opéra de Barie. La Karinette toujours pimpante et souriante au service presque exclusif de notre Rabastens, Yves, notre caméraman, et les enfants.. le fameux quatuor du gril.
Enfin, le coin des artistes avec Emma Kariotis l?éplucheuse de pommes de terre dont la voix a enchanté les vieilles branches... du grand chêne vert, Olivier Bekrétaoui, ténor et caricaturiste à ses heures alias Gustave qui m?a fait aussi passer d?excellents moments, notre Christian Lara national (et international ;-) ) toujours aussi sympa, Françoise l?imperturbable, Arnaud notre pianiste extra-terrestre et sa soeur Fabienne venue étoffer au dernier moment le rang des voix féminines.
Le spectacle :
Il fût magique : trois fois joué, trois fois différent. Nous sommes passés à travers les gouttes : les dieux étaient avec nous.
« Vous nous avez servi du champagne » a confié un spectateur à notre Pomme d?Api.
« Merci, grand merci, je suis très fier de ce que vous avez fait pour la commune » m?a confié un Bariaud.
« J?ai passé un moment formidable, c?est du spectacle vivant » a déclaré la députée du sud-gironde, Madame Faure...
Nous aussi, nous avons passé des moments formidables. Les chanteurs-acteurs étaient au top, heureux d?être là.
L?acoustique était exceptionnellement bonne, le lieu magique : un théâtre de verdure. Dans ces conditions, il est certain que nous sommes prêts à recommencer l?an prochain car c?est certain, nous aurons encore plus de monde.
Nous avons le sentiment d?avoir collectivement contribué à faire quelque chose de bien et donné du bonheur à partager.
Il est des moments dans une vie où l?on a l?impression d?être sur un nuage. Cette semaine à Barie a sans aucun doute soudé des amitiés et elle restera dans la mémoire de tous comme un évènement inoubliable.
Conclusion :
Comme dit la phrase : « Ils ne savaient pas que c?était impossible alors ils l?ont fait ! »...
Pour conclure, j?en appelle à ceux, qui comme nous, ont cette petite flamme qui fait faire aux hommes de grandes choses, loin des cahiers des charges, des plans qualité, du raisonnable ou du politiquement correct, pour les inviter à nous rejoindre au sein de l?association "Opéra de Barie".
La vraie vie est là : notre passion et notre amitié sont notre cohésion. C?est là notre force et c?est pour ça que je suis certain que l?Opéra de Barie a encore beaucoup de bonnes choses à vivre et à faire vivre.
Remerciements :
A la Commune de Barie et à son Maire, Monsieur Pagot, qui a su m?écouter et me faire confiance pour mener à bien cette aventure.
Aux élus de Barie pour leur soutien et plus particulièrement à Madame Valérie Beaumont.
A l?Opéra de Bordeaux pour le prêt des costumes du spectacle.
Je tiens surtout à remercier nos trois chanteurs professionnels, Emma Kariotis, David Ortega et Olivier Bekrétaoui qui m?ont fait confiance et qui sont venus chanter par simple amitié.
Merci à Philippe Souque pour sa mise en scène et pour ses coups de rouge, à Christian Lara pour sa simplicité, à Michel Hugues et à Michel Ballan pour avoir été les piliers de la technique Bariaude.
Merci à Françoise Lavielle, notre pianiste complètement bénévole qui a assuré comme une "pro", à Arnaud Oreb pour son toucher exceptionnel.
Et merci à tous ceux et ils sont nombreux qui nous ont aidé....
{Consulter} l'article avec son forum.
Je vous avais parlé lors de précédents articles de notre association l?Opéra de Barie qui proposera cette année Pomme d?Api d?Offenbach, suivi d?une "Ode à Bacchus" les 15, 16, et 17 août prochains.
Nous sommes maintenant début juillet et il faut commencer à faire parler de nous...
Les dernières répétitions de Pomme d?api avec nos artistes se sont déroulées dans la joie et la bonne humeur et le petit supplément d?âme, qui fait les grands spectacles, semble bien habiter toute l?équipe. C?est sûr : ce sera un beau spectacle qui ne laissera personne indifférent.
Les voix s?accordent bien, la mise en scène est très pro, la bonne humeur est omniprésente et l?intelligibilité des textes parlés et chantés est parfaite ( pour moi c?est très important).
Quel plaisir que d?avoir le privilège d?être un des premiers spectateurs, de rire aux gags de mise en scène et d?assister à la genèse de cette production qui sera, j?en suis maintenant convaincu, une réussite.
Concernant la publicité, des plaquettes individuelles (ou flyers) ont été déposées (ainsi que des affiches) dans les offices du tourisme ou syndicats d?initiatives du coin : Langon, Sauternes, Saint Macaire et Bordeaux, ainsi que bien sûr à la Mairie de Barie qui nous aide et nous soutient sur ce projet (lieu, scène, sièges, éclairages, logistique...) .
Une distribution a également été réalisée à l?entrée du Grand Théâtre de Bordeaux lors d?une des représentations de la Chauve-souris ciblant un public d?amateurs d?opérette.
Nos adhérents vont disposer prochainement (ou l?on déjà fait ) des affiches chez des commerçants de la région.
La promotion du spectacle doit encore monter en puissance. Nous allons bientôt contacter les médias : journaux , radios et télévisions.
Rappelons que nous partons de rien, que nous n?avons aucune subvention et c?est peut-être là notre force car nous sommes une équipe de gens motivés et passionnés, des professionnels, des amateurs et je suis sûr que nous allons montrer qu?avec très peu de moyens, mais avec beaucoup d?énergie, on peut créer quelque chose de Grand dans le domaine du spectacle vivant.
Accéder au site de l?Opéra de Barie
{Consulter} l'article avec son forum.
Dans le cadre de l?association Opéra de Barie, nous recherchons une ou plusieurs sopranos ou mezzo-soprano d?un bon niveau qui habitent autour de Bordeaux pour compléter notre équipe d?amateurs avertis.
L?idée est de monter en marge du spectacle annuel assuré par nos amis professionnels de l?opéra de Barie une production de type opéra comique ou opérette en un acte avec les amateurs de l?association.
Actuellement nous manquons de voix féminines, si vous êtes sympathique et passionnée d?art lyrique, rejoignez nous, nous devrions arriver à nous entendre.
Pour plus d?informations, contacter Jean-Marc au 06.63.34.51.98 ou par mail : Jean-Marc
{Consulter} la brève avec son forum.
Rita, la fausse mégère de Donizetti, ne va pas manquer d?air cet été dans les Pyrénées Atlantiques. Dans une nouvelle orchestration pour un quatuor à vents (flûte, clarinette, accordéon et basson), l?alerte comédie trouve un nouveau souffle et remplira vos oreilles le 5 août à Montardon, les 7 et 8 août à Caubios-Loos et le 11 août à Sames. rens./res. : cantere.lirica@gmail.com ou 06 75 01 20 00
Voir en ligne : Cantère Liricà
{Consulter} la brève avec son forum.
Le Choeur Voyageur donne ce jeudi 29 mai 2008 en l?église Ste Eulalie une prestation qui constitue l?aboutissement d?une année de travail.
Les membres de ce Choeur sont tous musiciens, étudiants en faculté de musicologie pour la plupart (actuels et anciens).
Ce spectacle alterne chant choral "classique" et prestations instrumentales et vocales avec des solistes confirmés (amateurs et professionnels).
Un autre concert est planifié à Pessac le samedi 7 juin.
Entrée libre.
http://lechoeurvoyageur.free.fr/
{Consulter} la brève avec son forum.
Après Rita ou le mari battu de Donizetti en 2007-2008, notre association a choisi pour 2008 - 2009 : L?île de Merlin, opéra comique en un acte et en français de Gluck.
Nous recherchons encore :
un baryton -basse pour le rôle de Scapin (tessiture entre la1 et fa3),
et un ténor (ou une mezzo-soprano ;-) pour le rôle à multiples visages de Merlin / la Candeur / le Chevalier (tessiture entre ré2 et fa3), dans le cadre de l?atelier lyrique qui se déroulera à Sames (64) du 11 au 18 août 2008.
Le travail musical et vocal sera animé par Bernadette Mercier, artiste lyrique et professeur de chant.
Plus de renseignements : cantere.lirica@gmail.com ou 06 75 01 2000 (Sophie).
Voir en ligne : Séjours lyriques depuis 2001
{Consulter} la brève avec son forum.
La Compagnie Arthéa est un organisme de formation.
Nadia Baji, le formateur, metteur en scène et créateur de ses spectacles organise un stage sur Paris du 19 mai au 23 juin à l?intention des artistes lyriques : "Stage SCENIQUE pour Artistes Lyriques"
Stage Pratique Scénique Artistes Lyriques (pdf)
{Consulter} la brève avec son forum.
Rechercher sur ce site :
{Site réalisé avec le logiciel SPIP} | {www.vocalises.net} | {Plan du site} |